Joséphine de l'Île Maurice : enculée et spermée par un jeune !

Ce soir là, mon jeune amant d'une vingtaine d'années était si excité, qu'il n'arrêtait pas de limer ma grosse babasse qu'il me défonçait sans retenue avec son énorme manche bien bandé ...

Je le sentais aller et venir en moi, me fourrer mon garage à bites, s'enfoncer dans mon bas ventre jusqu'à ma matrice qu'il butait de son gland tout dur, je voyais sa queue raidie disparaître au milieu de mes poils redevenus hirsutes, que 6 mois sans rasage intime avaient laissé revenir à leur état naturel, faisant de moi cette quinquagénaire cougar à la chnèque bien touffue.

Lui aussi, avait gardé les poils sur tout son corps, j'adorais le recevoir ainsi dans sa totale virilité, avec son pubis noir d'une épaisse fourrure, ses boules velues si lourdes et si soyeuses, et moi, de plus en plus salope, totalement déchaînée, ayant perdu tous repères, j'avais de tels besoins d'orgasmes avec lui, incontrôlables, que je lui tendais finalement mon cul de femelle en levrette, pour qu'il puisse m'éclater la moule et aussi la rondelle avec son énorme gourdin, dont il faisait notamment si bon sentir le noeud forcer la barrière de mon petit trou serré, recouvert de ses longues mèches de poils bruns qu'il tirait au passage car elles avaient largement repoussé entre mes fesses, et sous lesquelles se cachait mon orifice le plus privé.

J'étais ravie de le lui offrir, sachant par expérience, que de toutes façons, il me l'aurait transpercé de sa lance guerrière, même si j'avais tenté de résister à ses assauts sexuels qui me faisaient tellement mouiller, et là, j'ai hurlé sous la puissance de mes jouissances qui se sont déclenchées en séries sans que je puisse me retenir le moins du monde, tant sa queue qui me dévastait les entrailles me faisait du bien ...

Soudain, il m'a retournée, m'a écarté sans ménagement mes cuisses de chaudasse que j'ai rapidement relevées pour lui faire le passage, et dans un râle violent, presque animal, il s'est répandu en quelques traits sur mon ventre tout velu, que je laisse bien fourni jusqu'à mon nombril.

J'ai alors reçu une de ces doses de foutre dont j'ai tant la nécessité pour me sentir épanouie, et je me suis sentie honorée de constater que mon étalon n'avait pu s'empêcher de me souiller comme une chienne avec sa semence gluante et chaude qui giclait par saccades de son vit, pour se répandre sur ma peau de dame mature, comblée de se faire ainsi tringler par un tout jeune mâle, soulagé de pouvoir se vidanger les couilles de cette façon aussi impudique que sauvage, sur une femelle de 30 ans son ainée telle que moi.

Ensuite, j'ai encore fini de me travailler la choune devant lui qui bandait toujours, ne pouvant plus se soulager pour calmer ses ardeurs tant ses couilles étaient asséchées, en utilisant sa liqueur comme lubrifiant pour m'astiquer vigoureusement le bouton et continuer de me faire décoller vers des cieux infinis, puis il m'a longuement massée le ventre et mes petits nichons avec le restant de son offrande que j'ai laissée sécher sur ma peau sans me laver pour garder son odeur sur moi après son départ, au point que je crois pouvoir vous avouer que je ne m'assagirai jamais, étant plus en demande que jamais de plans cul les plus salaces et vicieux possibles.

Quitte à vous paraître dépravée ou pervertie, j'aime trop ces longues et torrides parties de jambes en l'air avec ce garçon !

Bisous coquins.                    

Joséphine de l'île Maurice.

Mon adresse pour me contacter : femmepoilue@yahoo.fr